Une cyberattaque de type ransomware ou cryptolocker peut, en quelques heures, chiffrer vos serveurs, vos postes de travail, vos NAS de sauvegarde et même vos jeux Veeam. Pourtant, dans de très nombreux cas, la perte de données n’est pas définitive. Avec une intervention spécialisée, il est possible de récupérer et de déchiffrer une grande partie, voire la quasi-totalité, des fichiers critiques pour l’entreprise.
C’est précisément la mission de DATABACK: intervenir en urgence après une attaque, réaliser des copies sécurisées, diagnostiquer et croiser les différents supports (disques, NAS, sauvegardes) pour reconstituer vos données essentielles et limiter au maximum l’impact sur votre continuité d’activité. Dans certains dossiers, les équipes parviennent à redonner accès aux données en moins de 24 heures après réception du matériel, et en 2 à 3 semaines pour les sinistres les plus lourds.
Ransomware : pourquoi une attaque ne signifie pas forcément perte définitive
Lorsqu’un ransomware frappe, le choc est immédiat : fichiers chiffrés, serveurs à l’arrêt, sauvegardes inaccessibles ou effacées, équipes paralysées… Il est fréquent de penser qu’il n’existe plus aucune solution, surtout lorsque plusieurs supports ont été touchés ou que les sauvegardes semblent compromises. Pourtant, l’expérience de DATABACK montre que la réalité est plus nuancée.
Dans de nombreux cas, il est possible de :
- Exploiter les données chiffrées par l’attaquant grâce à des techniques avancées de déchiffrement ou de reconstruction.
- Croiser plusieurs sources (sauvegardes partielles, anciens disques, NAS, snapshots, jeux Veeam) pour reconstruire la quasi-totalité des informations utiles.
- Retrouver des sauvegardes que l’on croyait perdues ou irrémédiablement corrompues.
- Prioriser les données vitales (bases métiers, ERP, comptabilité, dossiers patients, fichiers utilisateurs…) pour redémarrer l’activité rapidement, même si tout ne peut pas être récupéré à 100 %.
Des entreprises, collectivités, associations et établissements de santé qui pensaient tout avoir perdu témoignent aujourd’hui d’une reprise d’activité rendue possible grâce à la récupération de données opérée par DATABACK. Dans certains dossiers, jusqu’à 99 % des données ont été restaurées sur plusieurs dizaines de serveurs.
DATABACK : une cellule d’urgence ransomware et cryptolocker
Au fil des années et des cyberattaques, DATABACK a mis en place une véritable cellule d’urgence dédiée aux cas de ransomware et de cryptolocker. L’objectif est clair : réduire au maximum la durée de paralysie de votre organisation tout en préservant l’intégrité des preuves pour les enquêtes forensiques et les assureurs.
Les types de supports et d’environnements pris en charge
Les attaques récentes montrent que les cybercriminels visent désormais tous les maillons de la chaîne de sauvegarde. DATABACK intervient notamment sur :
- Disques internes de serveurs et de postes (Windows, Linux, environnements virtualisés).
- NAS de sauvegarde, souvent la cible principale des attaquants.
- Sauvegardes Veeam chiffrées ou inexploitables après l’attaque.
- Disques externes et baies de stockage utilisés pour l’archivage ou la réplication.
Plusieurs organisations témoignent d’une situation a priori désespérée : sauvegardes effacées, NAS chiffré, serveurs de production paralysés. Pourtant, les équipes de DATABACK ont pu analyser les différents supports, en extraire ce qui restait exploitable, recouper les informations et reconstituer la quasi-totalité des données de production.
Des délais d’intervention adaptés à l’ampleur de la crise
En situation de crise cyber, chaque heure compte. DATABACK a structuré son organisation pour répondre à des scénarios très variés :
- Dossiers ultra-critiques: intervention de nuit ou au petit matin, démarrage de l’analyse dès la réception du matériel (parfois dès 4 h du matin), première visibilité rapide sur le potentiel de récupération.
- Sinistres importants multi-sites: prise en charge structurée sur plusieurs semaines (souvent 2 à 3 semaines) pour analyser de multiples serveurs, NAS et jeux de sauvegardes, avec points d’étape réguliers et restitution progressive des données.
- Structures de taille moyenne ou associations: processus allégé mais tout aussi rigoureux, avec un retour des données récupérées en quelques jours dès que cela est techniquement possible.
Dans tous les cas, la logique reste la même : aller le plus vite possible sans jamais sacrifier la sécurité ni la fiabilité des données.
Un processus maîtrisé de bout en bout : de la crise à la restitution des données
Pour transformer une situation de crise en succès, DATABACK a construit un processus structuré, largement éprouvé sur le terrain. Ce cadre rassure les équipes techniques, les directions générales mais aussi les assureurs et les experts forensiques.
Étape 1 : Prise de contact d’urgence et cadrage du sinistre
Dès la première prise de contact, l’objectif est de comprendre rapidement la situation:
- Type d’attaque (ransomware, cryptolocker, effacement de sauvegardes…).
- Étendue de l’impact : nombre de serveurs, postes, NAS ou jeux de sauvegardes touchés.
- Environnements concernés : production, préproduction, sauvegardes, Veeam, etc.
- Contraintes métier : activités vitales à relancer en priorité, impératifs de continuité de service (santé, collectivités, logistique…).
Cette phase permet de définir une stratégie de récupération adaptée et d’organiser l’envoi ou l’enlèvement sécurisé du matériel.
Étape 2 : Logistique et copies sécurisées des supports
Une fois les serveurs, disques ou NAS récupérés (souvent via transporteur spécialisé), DATABACK commence par réaliser des copies sécurisées des supports dans ses propres locaux.
- Les supports originaux sont préservés pour les besoins juridiques et forensiques.
- Le travail de déchiffrement et de reconstruction est réalisé sur des clones, dans un environnement contrôlé.
- Les organisations peuvent, dans certains cas, récupérer rapidement leurs serveurs physiques pour procéder à un reset complet et une réinstallation propre tandis que DATABACK travaille sur les copies.
Ce choix technique permet de conjuguer rapidité de reprise et sécurisation des preuves et des supports d’origine. Plusieurs responsables informatiques soulignent d’ailleurs l’intérêt de ce modèle, qui leur a permis de reconstruire leurs environnements Windows et applicatifs en parallèle de la récupération des données utilisateurs.
Étape 3 : Diagnostic approfondi et estimation du potentiel de récupération
Sur la base des copies, les équipes de DATABACK réalisent un diagnostic détaillé:
- État des partitions et systèmes de fichiers.
- Analyse des traces laissées par le ransomware ou le cryptolocker.
- Repérage des fichiers chiffrés, supprimés ou corrompus.
- Identification des différents jeux de sauvegardes (par exemple Veeam) encore exploitables.
Ce diagnostic permet de présenter une première vision réaliste: types de données récupérables, pourcentages estimés, priorisation par périmètre (bases métiers, fichiers bureautiques, messagerie, etc.). Les clients mettent souvent en avant la clarté et la pédagogie avec lesquelles ces informations leur sont expliquées, étape par étape, malgré le stress de la situation.
Étape 4 : Déchiffrement, reconstruction et croisements entre médias
La phase suivante est au cœur de l’expertise de DATABACK :
- Tentatives de déchiffrement des données chiffrées lorsqu’elles sont techniquement possibles.
- Restauration avancée de données depuis des sauvegardes partiellement chiffrées ou endommagées.
- Croisement de plusieurs supports (sauvegardes anciennes, disques externes, NAS, Veeam…) pour reconstituer les versions les plus récentes possibles des fichiers.
- Filtrage et organisation des données restaurées pour faciliter leur réintégration dans le SI.
Un directeur informatique témoigne, par exemple, que ses sauvegardes avaient été purgées sur plusieurs clients malgré 14 jours de rétention. En croisant les données chiffrées et d’autres sauvegardes sur différents médias, DATABACK a néanmoins permis de reconstituer la quasi-totalité des données, sauvant ainsi l’activité de plusieurs entreprises.
Étape 5 : Validation, restitution sur supports sécurisés et accompagnement à la remise en production
Une fois la récupération réalisée :
- DATABACK présente aux équipes clientes un inventaire clair des données récupérées et des manques éventuels.
- Les fichiers sont ensuite restitués sur des supports sécurisés: par exemple, disques externes chiffrés ou baies dédiées.
- Les équipes informatiques peuvent alors réinjecter progressivement les données dans les nouveaux environnements (serveurs réinstallés, nouvelles machines virtuelles, etc.).
Plusieurs responsables saluent un accompagnement de bout en bout: des premiers échanges dans la nuit de la cyberattaque jusqu’à la reprise effective des services aux usagers, aux patients ou aux clients.
Des résultats concrets : quand la récupération de données change l’issue de la crise
Les témoignages d’organisations passées par une cyberattaque illustrent concrètement les bénéfices d’une telle intervention. Parmi les retours d’expérience mis en avant :
- Sauvetage d’entreprises: un dirigeant explique que la récupération des données essentielles après cryptolocker a littéralement « sauvé son entreprise », l’activité ayant pu reprendre après quelques jours.
- Continuité de service public: une ville indique que 99 % des données ont été récupérées sur une quarantaine de serveurs, permettant de redémarrer rapidement les services municipaux et de limiter fortement l’impact pour les usagers.
- Établissements de santé et médico-sociaux: des responsables soulignent que la récupération des données cryptées a permis de retrouver le « cœur de leur activité », c’est-à-dire la capacité à prendre en charge les patients et à gérer les dossiers sensibles.
- Associations et structures locales: malgré un système d’information entièrement paralysé et des sauvegardes effacées, plusieurs associations ont pu récupérer leurs données en quelques jours seulement, avec un soutien jugé rassurant et très professionnel.
- Groupes industriels et de services: certains ont vu l’ensemble de leur environnement de production touché ; la récupération ciblée des données critiques a permis d’assurer la continuité minimale puis la reconstruction progressive du SI.
Au fil de ces retours, plusieurs éléments reviennent systématiquement :
- Un très haut taux de succès, avec dans certains cas jusqu’à 99 % des données retrouvées.
- Une réactivité marquée: démarrage des travaux dès la réception des supports, points d’avancement réguliers, restitution parfois en moins d’une semaine, et dans d’autres cas en 2–3 semaines pour des périmètres très larges.
- Un accompagnement humain apprécié dans un contexte perçu comme « extrêmement stressant ».
Collaboration avec assureurs, experts forensiques et DSI : un maillon clé de la réponse à incident
En cas de cyberattaque, de nombreux acteurs interviennent : direction générale, équipes IT, prestataires historiques, experts en cybersécurité, assureur cyber, parfois autorités compétentes. DATABACK s’intègre dans cet écosystème comme spécialiste de la récupération de données.
Dans plusieurs dossiers :
- Les assureurs cyber orientent directement leurs assurés vers DATABACK dès la déclaration d’incident.
- Les consultants et équipes forensiques travaillent en parallèle sur l’analyse de l’attaque pendant que DATABACK se concentre sur la récupération et le déchiffrement.
- Les DSI et responsables informatiques peuvent se focaliser sur la reconstruction des infrastructures (réinstallation des systèmes, renforcement de la sécurité) en s’appuyant sur les données restituées.
Ce mode de collaboration permet de gagner un temps précieux tout en répondant aux exigences des assureurs en matière de traçabilité, de préservation des preuves et de bonne gestion de crise.
Pourquoi faire appel à un spécialiste plutôt que payer la rançon ?
Face à la pression d’une cyberattaque, la tentation peut exister de payer la rançon pour récupérer rapidement les données. Pourtant, cette option reste risquée et aléatoire :
- Aucune garantie de récupération: même après paiement, le déchiffrement peut échouer, être incomplet ou s’étaler sur une longue période.
- Risque juridique et éthique: payer des cybercriminels pose des questions légales et encourage la répétition des attaques.
- Pas de traitement des causes profondes: la faille reste souvent ouverte et vos systèmes demeurent vulnérables.
À l’inverse, faire appel à un spécialiste de la récupération de données comme DATABACK permet de :
- Maximiser les chances de retrouver vos données sans dépendre du bon vouloir des attaquants.
- Travailler dans un cadre structuré, compatible avec les exigences de votre assureur et des autorités.
- Repartir sur des bases assainies en reconstruisant progressivement un système d’information mieux sécurisé.
Impact d’une intervention spécialisée : comparaison avant / après
La différence entre une organisation livrée à elle-même et une organisation accompagnée par un spécialiste de la récupération de données peut être considérable.
| Situation | Sans intervention spécialisée | Avec intervention de DATABACK |
|---|---|---|
| Visibilité sur les données | Incertitude totale, difficile d’évaluer ce qui est perdu ou récupérable. | Diagnostic précis, estimation claire des données récupérables et prioritaires. |
| Durée de paralysie | Parfois plusieurs semaines ou mois avant un début de reprise. | Redémarrage possible en quelques jours, voire moins de 24 h pour les cas urgents. |
| Taux de récupération | Souvent très faible, limité aux sauvegardes intactes (quand elles existent). | Taux élevé, jusqu’à 99 % dans certains cas, grâce aux techniques de croisement et de déchiffrement. |
| Stress des équipes | Pression maximale, absence de plan clair, tensions avec la direction et les clients. | Processus balisé, accompagnement humain, points d’étape réguliers et rassurants. |
| Relations avec assureurs et experts | Dossier parfois difficile à documenter, risques de litiges. | Processus documenté, traçabilité des actions, intégration fluide avec les autres intervenants. |
Après la récupération : comment mieux se préparer à la prochaine attaque
Une fois la crise immediate dépassée, la récupération de données devient un levier puissant pour renforcer durablement la résilience de votre système d’information. Les équipes de DATABACK constatent souvent qu’un sinistre majeur incite les organisations à :
- Repenser leur stratégie de sauvegarde: multiplication des copies, diversification des médias, déconnexion régulière des supports, sauvegardes hors ligne.
- Mieux protéger leurs sauvegardes Veeam et leurs NAS, devenus des cibles prioritaires des attaquants.
- Documenter un plan de réponse à incident incluant la procédure de saisine rapide d’un spécialiste de la récupération de données.
- Sensibiliser les équipes aux risques (phishing, mots de passe, accès distants, multi-facteur…).
- Renforcer la supervision et la détection pour repérer plus tôt les comportements anormaux.
La bonne nouvelle, c’est qu’une organisation ayant traversé une cyberattaque accompagnée par un spécialiste comme DATABACK dispose ensuite de retours d’expérience concrets pour améliorer son dispositif de sécurité et de continuité d’activité.
En cas de cyberattaque : les bons réflexes pour maximiser vos chances de récupération
Lorsque vous découvrez un chiffrement massif de vos données, certains réflexes peuvent jouer un rôle décisif sur le taux de récupération final :
- Coupez immédiatement les accès aux systèmes touchés (réseau, VPN, connexions distantes) pour limiter la propagation.
- Ne réinitialisez pas et ne reformatez pas vos supports avant qu’ils aient été analysés : cela pourrait détruire des données encore récupérables.
- Préservez les journaux et traces techniques (logs, sauvegardes, snapshots) utiles à la fois pour l’enquête forensique et la récupération.
- Contactez rapidement votre assureur cyber et vos partenaires de confiance afin de déclencher la chaîne de réponse à incident.
- Faites intervenir au plus tôt un spécialiste de la récupération de données capable de réaliser des copies sécurisées, un diagnostic et un plan de déchiffrement ou de reconstruction.
Plus l’intervention spécialisée commence tôt, plus vos chances de retrouver une part importante de vos données sont élevées. Les retours d’expérience montrent qu’une prise en charge rapide peut faire la différence entre arrêt prolongé de l’activité et reprise maîtrisée en quelques jours.
Récupérer vos données après ransomware : un investissement qui peut sauver votre organisation
Une cyberattaque de type ransomware est toujours un choc, mais elle n’est pas forcément synonyme de faillite, de perte totale des données ou de mise à l’arrêt durable. Avec une approche structurée, des compétences pointues et un retour d’expérience solide, la récupération de données devient un levier concret pour sauver l’activité.
Les nombreux témoignages d’entreprises, de collectivités, d’associations et d’établissements de santé passés par DATABACK vont tous dans le même sens :
- Réactivité remarquable, avec des équipes mobilisées même en pleine nuit lorsqu’il le faut.
- Expertise technique avérée sur les disques, NAS, sauvegardes Veeam et environnements chiffrés.
- Collaboration fluide avec assureurs, experts forensiques et équipes internes.
- Taux de réussite très élevés, allant jusqu’à 99 % dans certains cas, permettant de limiter de manière spectaculaire l’impact sur la continuité d’activité.
En d’autres termes, faire appel à un spécialiste comme DATABACK au cœur de la crise peut transformer une attaque catastrophique en incident maîtrisé, avec une activité qui repart vite, des données clés retrouvées et des équipes rassurées.
Si votre organisation est confrontée à un ransomware ou à un cryptolocker, savoir qu’il existe la page www.databack.fr/recuperation-de-donnees/ransomware/ et une cellule d’urgence dédiée à la récupération et au déchiffrement de vos données est déjà un premier pas vers le retour à la normale.
